L’empreinte carbone, la consommation d’énergie, la gestion des déchets, l’utilisation des ressources naturelles et plus globalement la réduction des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) pour lutter contre le réchauffement climatique nous entrainent vers une transition écologique tant au niveau individuel qu’à un niveau plus global.
Nous devons agir ! S’il s’agit pour certains d’une prise de conscience, cela peut être aussi une confirmation pour d’autres. Le monde entier doit se sentir impliqué dans cette approche d’amélioration constante de notre façon de préserver nos atouts environnementaux, sociaux, et sociétaux.
Les activités des entreprises, notamment dans les secteurs de l’énergie, de l’industrie et des transports, sont responsables d’une grande partie des émissions de gaz à effet de serre, contribuant ainsi significativement au changement climatique. La déforestation, la consommation d’énergie fossile et les chaînes d’approvisionnement globales sont des facteurs clés exacerbant ce phénomène.
Les entreprises doivent alors jouer un rôle central dans la transition vers une économie à faible émission de carbone.
Ainsi, afin d’éviter le greenwashing, des textes règlementaires transposés en droit français depuis décembre 2023 encadrent les communications et engagements à venir des acteurs économiques qui sont de plus en plus nombreux à devoir emprunter le chemin de la durabilité. Ces textes demandent à la fois un état des lieux mais aussi des perspectives d’amélioration à court, moyen et long terme.
Ces nouveautés réglementaires pouvant être appréhendées comme des contraintes, sont en réalité tout autant des opportunités de mettre en avant la responsabilité sociétale des entreprises et de réfléchir sur la continuité de son activité à long terme.
Toutefois, l’application strictement règlementaire des textes ne suffit pas et peut s’avérer être réduit à un exercice de pure conformité.
L’impulsion de cette recherche de constante amélioration doit émaner de la gouvernance de l’entité.
